Rex, ta gardienne me dit que tu souffres de difficultés respiratoires. Comment te sens-tu ?

Par moments une très grande et vive douleur et parfois une grande oppression et des difficultés à laisser l’air entrer en moi.

Peux-tu me dire où se situe ces douleurs ?

L’endroit où l’air rentre (m’a montré la trachée) l’endroit où le souffle de vie pénètre en moi. La phase qu’elle traverse est sans doute contraignante et elle se sent à l’étroit. De l’air oui, mais ça fait mal quand cela pénètre en nous. Les bronches y sont associées et la souffrance respiratoire est encore plus grande. La colère contre le monde extérieur empêche de vivre par manque de liberté, d’espace ou au contraire on se sent obligé de vivre contraint à subir les conséquences de ses choix faits de façon inconsciente. Il faut calmer la tension, car le vécu génère une impression d’empêchement à vivre.

Que peut-on faire pour t’aider, pour te soulager ?

Prendre conscience que je suis sur mon chemin et qu’il s’agit certainement d’un vécu qui rappelle des souffrances ayant déjà existées. Il faut renforcer mes défenses immunitaires et m’aider à partir lorsque le moment sera venu. Dis-lui que je l’aime et que je suis heureux pour toutes ces belles années passées ensemble, mais que tout doucement je commence à préparer mon départ et qu’elle devra l’accepter le moment venu pour me permettre de lui revenir en pleine forme et avec une nouvelle mission.

Laquelle ?

L’aider à vivre les affections, les sentiments, les relations d’une manière beaucoup moins compliquée et plus fluide.