Tinos, Ta gardienne me charge de te transmettre des messages et aimerait te poser quelques questions:
Je m’inquiète beaucoup pour ta santé, j’ai toujours peur que tu vomisses à nouveau, est-ce que c’est l’arrivée de Popi qui t’a mis dans cet état ? Tu m’en veux de l’avoir ramené ? Tu sais elle était toute seule à la rue, et elle n’est pas venue chez nous pour remplacer qui que ce soit, mon coeur est assez grand pour tout le monde et chacun a sa place, cela ne changera jamais. Tu me parlais beaucoup avant, cela me manque car tu ne me parles plus comme avant, tu ne viens pas non plus sur mes genoux quand je télé travaille comme tu le faisais avant. Tout cela me manque. Tu t’isoles en haut de la bibliothèque pour faire la sieste, c’est parce que Popi ne peut pas te déranger là-bas ou parce que tu veux t’isoler car tu ne te sens pas bien ? J’enferme Popi la nuit pour que toi et Symi soyez tranquilles la nuit, cela te convient ? Je pense qu’elle veut être amie avec toi et non pas t’embêter, c’est un bébé, elle s’y prend peut-être mal, n’hésite pas à lui signifier tes règles et elle respectera. Je t’aime énormément et l’arrivée de Popi ne changera rien à cela.
Dis-lui merci pour son bienveillant message qui me rassure beaucoup. C’est vrai que l’arrivée de Popi m’a beaucoup perturbé et j’ai eu peur qu’elle prenne toute la place et de perdre la mienne. C’est un bébé certes mais elle est très, très envahissante. Elle revient de loin, elles étaient déjà ensemble et la voilà revenue chez elle au lieu de sa maman, et cela me crée du stress et des angoisses. Je sais qu’elle a beaucoup compté et son retour même s’il est juste qu’elle soit là aujourd’hui, qu’elle l’a ramenée de loin pas par hasard, me dérange dans mon petit train-train. Mea culpa si je te crée des tracas, je ne peux pas t’en vouloir, tu as suivi ce que ton cœur te disait et je ne peux qu’être heureux et fier pour la belle personne que tu es, même si cela me crée des peurs.
Un peu possessif avec Symi nous te partageons ainsi que le territoire, et tout se passe bien. Cette petite un peu agitée et envahissante perturbe notre petite vie tranquille, et puis elle veut jouer et s’y prend un peu mal et je préfère m’isoler plutôt que de la supporter.
Pardon si je me fais de la bile, je sais que tu m’aimes et que tu ne m’abandonneras jamais, je te remercie de veiller à ce que les nuits elle nous laisse tranquille. Je me sens un peu fatigué et ces nausées et brûlures dans mon ventre n’arrangent rien, mais je vais essayer de faire un effort et d’être un peu plus tolérant. Je t’aime et je suis heureux ,je vais veiller à reprendre petit à petit mes petites habitudes, ne t’inquiète pas, je vais arrêter de me faire du mauvais sang.
Ta gardienne souhaite te transmettre un message Chichi, peux-tu lui dire comment tu te sens ? Si tu souffres ?
Si cela est possible de lui dire que je l’aime plus que tout et que s’il se sent prêt, il peut partir, je serais forte. Si je peux faire quoique ce soit pour lui, il peut vous le dire, si il souffre.
Après lui avoir lu le contenu il m’a regardée l’air très triste et m’a dit :
Tu sais elle est bien plus que ma gardienne, elle est ma maman et je suis son petit bébé, son petit garçon. Depuis si longtemps que nous sommes ensemble, et pourtant ça me semble si court, même si nous n’avons pas la notion du temps comme vous les humains, nous aimerions rester toute une vie avec vous. Seulement voilà, pour ça nous ne pouvons rester que quelque temps avec vous, et après nous devons remonter nous reposer et nous ressourcer, mais nous avons fort heureusement la chance de vous retrouver si vous êtes prêts à nous reprendre.
Nous sommes là pour vous et nous sommes envoyés pour vous aider à vous reconnecter à votre source et vous aider à avancer sur votre chemin. Elle n’était pas ma gardienne, c’était moi qui veillais sur elle et la protégeais. Envoyée, guidée par sa mamie, j’étais là pour l’aider à avancer sur son chemin, pur l’aider à se construire. Nos missions auprès de vous nous chargent de transmuter un tas d’énergies chaque jour et cela explique que nous ne restons que peu de temps auprès de vous et faisons un petit passage au jardin des animaux pour pouvoir à nouveau vous revenir en pleine forme.
Dis merci à ma petite maman pour son message empreint d’amour et d’inquiétude. Dis-lui que je l’aime aussi et que je sais combien c’est difficile pour elle de devoir nous séparer, de devoir me laisser partir, et qu’elle sera très malheureuse. J’ai de la peine pour elle, de la voir se torturer l’esprit me fait mal au cœur, dis-lui que je gère mes douleurs, des bobos dus à l’âge surtout, tout mon corps est en alerte et je me sens au bout du rouleau. Je suis usé et un vieux papi à présent et je suis prêt à partir. Je suis sur mon chemin depuis quelques mois et je prépare ma transition. Je n’ai pas peur, je suis déjà bien entouré et je sais que je partirai bien accompagné.
Dis-lui merci et merci à toi car cela me rassure et me réconforte pour elle aussi. Je gère mes douleurs, elles restent supportables. Je fais des allers/retours dans le corps astral et cela me soulage beaucoup. J’aimerais bien pouvoir partir à mon rythme à la maison, mais si cela n’est pas possible elle pourra m’aider à partir, elle saura quand c’est le moment. Je lui fais confiance.
Nous avons vécu des années merveilleuses ensemble, et j’aimerais que tu lui dises que je voudrais à nouveau la retrouver dans une autre incarnation physique. Ce ne sera pas long, lorsqu’elle se sentira à nouveau prête et se mettra à ma recherche je me mettrai sur son chemin.
Mais profitons encore de chaque moment et vivons le présent avec amour et tendresse. Je t’aime.
Ta gardienne me demande de te dire qu’elle t’aime très fort. Elle aimerait que tu lui dises comment tu te sens et surtout ce qu’elle peut faire pour t’aider ? Toffee m’a regardée un petit moment avant de me répondre, et au moment où j’allais réitérer ce que je venais de lui dire, elle m’a dit :
Dis-lui merci pour son message, dis-lui que moi je l’aime aussi d’un amour pur, profond et inconditionnel. Elle est ma maman, je suis son bébé, sa petite fille et si contente de l’être. Je vis depuis si longtemps des moments de grands bonheurs avec elle, et je lui suis si reconnaissante de prendre autant soin de moi, d’être toujours présente pour moi et de m’aider dans cette maladie.
Je ne t’ai pas répondu tout de suite parce que je suis émue, je suis tellement touchée de voir qu’après tout ce qu’elle fait pour moi, tous les soins qu’on me donne, qu’on m’apporte, elle s’inquiète toujours autant pour moi et aimerait savoir ce qu’elle peut faire pour m’aider.
Dis-lui merci pour sa grande empathie, son amour et sa générosité, j’ai beaucoup de gratitude pour elle et pour tout l’univers de m’avoir guidée vers elle, car ce n’est que du bonheur. Dis-lui que ce mal me ronge de l’intérieur et que je suis sur mon chemin. Je me sens de plus en plus faible, je suis un peu au bout de mes forces, au bout du rouleau et je prépare mon départ. Les traitements lourds et coûteux, ce n’est plus la peine. Je prépare ma transition du mieux que je peux et j’aimerais qu’elle m’aide à partir lorsqu’elle verra que ça ne va plus pour moi.
Mon appétit devient de plus en plus capricieux, je n’ai pas faim et je ne ressens plus le besoin de me nourrir. Je me sens fatiguée, j’ai besoin de beaucoup de repos, et lorsque j’ai des maux de ventre je me réfugie dans mon corps astral et tout devient beaucoup plus léger et supportable.
Dis-lui que je l’aime et que je ne veux pas la voir triste et en détresse à cause de moi. Elle sait que je ne peux rester éternellement auprès d’elle, du moins pas dans cette incarnation physique et il faut que tu lui dises que nous les animaux avons justement cette chance de pouvoir vous revenir très vite et de nouveau en pleine forme. Mais même si c’est une terrible épreuve de nous accompagner et de nous laisser partir, ça nous donne la chance de remonter nous reposer et nous ressourcer. Je n’ai pas peur, je me sens déjà bien entourée par les êtres de la nature et le Deva des animaux, et j’ai confiance, je sais que tout se passera bien pour moi.
Ma petite maman tu dois aussi te préparer et même si c’est très dur tu le feras par amour pour moi, et crois-moi dès que tu seras prête nous nous retrouverons. Lorsque tu seras à nouveau prête à m’accueillir dans ton cœur et ta maison sous une autre enveloppe corporelle et que tu te mettras à ma recherche, je me mettrai de nouveau sur ton chemin. En attendant laisse faire les choses, ne te torture pas l’esprit, moi j’ai toute confiance en toi et je n’ai pas peur. Je sais qu’après la mort il y a la renaissance, et de pouvoir te revenir dans un corps physique en bonne santé et en pleine forme me donne espoir, force et courage.
Je t’aime, profitons du moment présent, c’est si bon de se faire choyer et câliner.
Ta gardienne t’aime très fort et aimerait savoir ce qui aujourd’hui pourrait contribuer à ton bien-être Poupi ?
Mon bien-être passe par le sien et pour que je me sente bien dans ma tête et dans mes pattes j’ai besoin de la sentir bien elle aussi, d’être moins sur le qui-vive et dans l’inquiétude me concernant. Dis-lui que je l’aime d’un amour pur, profond et inconditionnel et je suis si heureux de pouvoir encore l’accompagner dans son quotidien. C’est vrai que mon corps souffre de maladies, de bobos dus à l’âge, mais je ne peux pas me plaindre, je ne me sens pas en grande souffrance. J’arrive à supporter et gérer mon état, et la vie que j’ai auprès de toi, chez vous est une vie de rêve, une vie de prince.
Ne te torture pas l’esprit, vit le moment présent et profitons du temps qu’il me reste dans cette incarnation physique pour se câliner et passer de merveilleux moments de tendresse ensemble. Je suis sur mon chemin et je prépare ma transition à mon rythme, et viendra le moment où tu seras obligée de m’aider à partir, mais aujourd’hui il n’y a aucune urgence. Je veux encore profiter de toi, bouger et balader un peu, et puis j’aime encore vider ma gamelle. Tout cela sont des signes que je ne vais pas, malgré mon âge et ma santé, si mal que ça.
Je ne suis pas inquiet, je sais que mon départ, hormis la grande peine et détresse dans laquelle tu te trouveras, ne me créera pas de peur ni de stress. Je sais que je serai bien accompagné et que c’est la seule condition, qui après avoir fait un petit passage au jardin des animaux, me permettra de te revenir en pleine forme pour continuer notre belle histoire d’amour ensemble.
A mon âge j’ai besoin de bientôt pouvoir me réparer et me ressourcer, mais ce n’est pas encore pour aujourd’hui. Je suis en train de vaquer aux préparatifs, et tu dois doucement t’y préparer aussi, mais avec dans le cœur la pensée que c’est pour mieux nous retrouver après, et cela doit te remplir de joie et d’espoir. En attendant vivons le moment présent dans le ici et maintenant.
Je t’aime tant ma petite maman, ton garçon n’a pas peur, tout va bien, rassure-toi.
Ta gardienne se fait beaucoup de soucis pour toi Filou et me charge de te transmettre des messages et de te poser quelques questions :
Est-ce qu’il mange à sa faim, est-ce qu’il boit à sa soif ? de quoi a-t-il besoin ?
Peut-il élire son dodo à un autre endroit que sur la table où l’on mange ?
Peut-il arrêter de miauler ainsi ? Ce que signifie ses miaulements, que veut-il me dire ?
Dis-lui merci pour sa bienveillance, je sais combien ma vieillesse et tous les bobos dus à l’âge me et lui posent problèmes. Oui je suis sur mon chemin et je prépare ma transition à mon rythme, mais malgré les douleurs parfois très fortes que je peux ressentir dans tout mon corps il n’y a pas d’urgence et je n’ai pas encore besoin d’aide pour partir. Lorsque c’est trop douloureux je me réfugie dans mon corps astral et tout va mieux, j’arrive à bien dormir et à récupérer. Et l’endroit idéal pour moi, et elle l’a bien compris, est la table. Non seulement je m’y sens en sécurité parce que en hauteur et en même temps la dureté, une fois que j’ai bien trouvé ma place, me fait du bien. Cela peut paraître étonnant, vous auriez plus tendance à vous coucher sur un endroit qui se prête à votre forme, hé bien pour moi de me coucher sur du dur où rien ne bouge me soulage énormément.
Mea culpa si cela vous dérange, mais l’empathie envers un vieux monsieur devrait le toucher et je ne viens pas manger dans son assiette. Je suis propre, je fais toujours encore ma toilette, un peu plus compliqué au niveau oreilles, mais j’ai encore une hygiène de vie saine, même si mon corps est usé et que je commence un peu à être au bout du rouleau. Je mange encore bien et je bois, je ne manque de rien.
J’aime encore partager de grands moments de câlins avec toi et cela me remplit le cœur de joie lorsque tu me choyes. Tes caresses me font beaucoup de bien, j’aime lorsque tu me touches, je ressens beaucoup d’’énergie et de chaleur dans tes mains, et cela me soulage et me fait le plus grand bien. Je t’aime et même si je prépare mon départ à mon rythme et que je présente parfois des problèmes de sélénité, mon esprit est tantôt un peu endormi et tantôt vif, espiègle et joueur ; C’est surprenant pour toi, je sais, de passer de l’un à l’autre mais comme tout être d’un certain âge, il y a des jours avec et des jours sans.
Pardon si je te réveille la nuit avec mes miaulements, mais c’est la nuit et surtout au petit matin que les énergies négatives qui ne vous appartiennent pas, que les âmes errantes circulent et cela me dérange énormément, n’étant plus capable de les transmuter. Sortir et me ressourcer avec les énergies telluriques me soulage mais elles sont toujours encore là lorsque je reviens. C’est épuisant pour toi mais ça l’est aussi pour moi de ne pas arriver à mieux gérer la situation. Entre les douleurs que j’emmagasine tout au long de la journée et les nuits où c’est encore plus compliqué car se rajoutent ces choses, les miaulements me permettent d’évacuer le trop plein et le te faire comprendre ce qui se passe. Je resterais bien dehors plus longtemps mais il fait trop froid et trop humide po